Blog

Mon premier tri… par Nicolas Chevalier

Le ciel est gris, la mer déchaînée. Les triathlètes trépignent et regardent avec méfiance l’étendue bleue qui se présente à eux. Cette mer n’est pas accueillante et ne semble pas nous souhaiter la bienvenue. Le ton est donné, aujourd’hui sera glorieux ou ne sera pas.

Au fond du sas, (on entend chanter les sardines) je me fais la reflexion que le terme de natation est peut être mal choisis pour décrire la bataille navale qui va avoir lieu.

10h01 – C’est parti! Au petit trop et au rythme de la bande son de pulp fiction, je me dirige vers l’inconnu: 1,5km dans une mer agitée. Tranquillement je me décide à me mouiller et je me rencontre qu’il ne s’agit plus de nager mais de survivre aux vagues et aux lutteurs aquatiques.

10h et quelques – Et là, c’est la guerre. Plus de pitié au passage de la première bouée, c’est celui qui restera hors de l’eau qui survivra. ça joue des coudes et des pieds, à croire que certains essayent même de passer par dessus???!

10h21 – Je sors de l’eau. Enfin j’y sors pour y re-rentrer et attaquer le second tour. Quelques tasses d’eau salée me motive à en finir le plus vite possible. « Après la natation, plus que vélo et course a pieds c’est easy! »

10h38 – Enfin c’est fini, merci mais je ne veux plus de sel.

Et là, tu redécouvres tes pieds mais sans les talons car mes talons étaient gelés.

10h45 – Plus le temps de réfléchir, il faut y aller. Les pédales n’attendent pas. Et rien de plus réjouissant que la côte de Saint-Laurent… Enfin quel plaisir d’être à vélo après la bataille navale, prendre quelques gorgées de boissons sucrées me redonnent la pêche.

11h00 – Sur le plateau, j’en profite pour récupérer et admirer le paysage. Sur les hauteurs, le triathlon nous offre plus qu’une course: une balade touristique !

11h30 – J’attaque une nouvelle grosse côte. Je passe les vitesses. Mon vélo refuse. Ma chaîne se bloque. Et booom! Chute.

11h31 – Je me relève, plus de peur que de mal. Il me fallait bien cela pour ajouter du piquant à la course. Quelques éraflures mais rien de grave. Je me remet en selle pour poursuivre l’ascension!

12h20 – Je finis le vélo en trombe. Après les 20km en vélo, j’ai commencé à accélérer et je me sens au top. Maintenant direction mes baskets pour envoyer sur la course à pieds!

12h33 – Vélo terminé. Une deuxième partie de course plutôt bien gérée même si je suis parti doucement j’ai pu envoyer davantage sur la fin. Il me reste assez de jus pour me faire plaisir sur la course à pieds.

13h00 – Quel plaisir de courir le long des planches, on ne sait plus où donner de la tête entre l’apparition du soleil, la plage et ses parasols, la foule n’attendant que d’être stimulée! Les kilomètres s’enchaînent et la fin approche!

13h20 – Plus qu’un kilomètre, je me mets en tête de tout envoyer !

13h25 – La course se finit et la joie est indescriptible. On rentre dans un club fermé, dans une portion infime d’individus fous et passionnés !

Tout cela finit très bien pour moi, sachant qu’une semaine auparavant je m’étais fait une entorse. Temps respectable et sensations aux rendez-vous. Après la course, j’entends que ce triathlon n’est pas le plus facile à cause du dénivelé en vélo. Je suis plutôt fier et motivé pour enchaîner de nouveaux tris!

Mon bilan:

37min – natation
1h42min – vélo 23km/h
52min – course à pieds 11.5km/h
Total de 3h24 avec les transitions

n-j-chevalier-2

En m’inscrivant pour mon premier triathlon, je ne pensais pas qu’il commencerait à l’inscription même. Et là, ce n’est pas seulement mes entraînements qui changèrent mais mon quotidien. Devenir triathlète c’est partir en quête de l’auto-dicipline et de nouvelles habitudes.

Si la course fut stressante, l’avant course vu encore plus stressante. Pour un débutant la logistique du matériel est facteur inconnu: est ce que je n’ai rien oublié? Et si je crève en vélo? Et bien d’autres questions aussi diverses que flippantes.

Néanmoins l’organisation pour ce triathlon de Deauville a fait le taff. Des bénévoles disponibles, des indications claires et une ambiance de folie! Aujourd’hui ce qui me fait apprécier le triathlon: le style de vie. Plus que la course à pieds, un triathlète se doit de développer son auto-discipline à l’épreuve des bières (enfin la plupart du temps) et son organisation à la manière d’un horloger suisse.

Finir son premier triathlon, ce n’est pas seulement un accomplissement personnel ou une performance inconcevable, c’est aussi la découverte d’une nouvelle forme de plaisir… ou de souffrance. Oui car le triathlon est trop envahissant pour être comparé à n’importe quel autre sport et pour le prendre à la légère. Et l’une des raisons qui justifie cela, c’est que le triathlon n’est pas un sport mais trois sports. En voilà une découverte vous me direz! Mais l’entraînement est triple et l’investissement est total et j’adore ça!

Je vous dis à l’année prochaine pour la version longue? ^^

Mon triathlon M à Deauville par Charlotte

4 juin 2016, une date dont on parle depuis un moment avec ma famille puisque il y a 6 mois je me suis inscrite sur le triathlon M de Deauville et j’ai embarqué mon frère, mon beau frère et mon cousin dans l’aventure. Je leur ai lancé le défi de faire leur premier triathlon découverte qui avait lieu le même jour et ils ont tout de suite accepté.

J’étais ravie à l’idée de pouvoir partager ma passion avec eux et aussi par le fait que ma famille allait pouvoir venir m’encourager ! J’ai appris ensuite que mes amis du club seraient là aussi, certains pour faire la course, d’autres pour nous encourager, royal ! Un beau week end en perspective :)

C’est donc avec joie que je me suis rendue en Normandie le vendredi veille de course pour retrouver tout le monde et, à l’occasion, essayer mon vélo avec les prolongateurs. En effet, ça faisait longtemps que je voulais essayer et deux semaines avant la course les prolongateurs étaient en place, seulement avec le temps pluvieux ces derniers temps, je n’ai pas pu les essayer sur une sortie, c’est donc dans l’allée de la maison que j’ai testé le bazar… et j’étais pas bien à l’aise. Qu’à cela ne tienne, je me suis dit que je verrais bien le lendemain sur la course ! Et moi qui conseille toujours de ne pas essayer une nouveauté sur une course, surtout ne prenez pas exemple !

dossards deauvilleOn s’est donc mis en route Louis et moi le samedi matin pour un départ de course à 10h00. Le reste de la famille suivra un peu plus tard. On a espéré toute la semaine qu’il ne pleuve pas vu la météo d’hiver que l’on a depuis quelque temps… mais c’est sous une petite bruine que Deauville nous accueille, oops, pourvu que ça ne dure pas, ça gâche un peu le plaisir ! On va faire la queue à la remise des dossards et là je me rends compte que je suis sur une grosse course, il y a une queue de dingue, heureusement ça va assez vite. On retrouve les copains qui sont là au taquet, ça fait trop plaisir !

depart deauvilleLe temps de récupérer mon vélo, de coller toutes les étiquettes, de m’installer dans le parc, d’enfiler la combi et ça y est, je vais déposer mon sac à la consigne et on part s’échauffer dans l’eau avec Manon, je veux absolument m’habituer à la température de l’eau avant le départ. On s’avance dans les vagues et elle est glacée ! On trouve le courage de faire quelques mètres, de mouiller la tête et finalement une fois qu’on est dedans ça va mieux. On se dirige ensuite vers la ligne de départ, sur les conseils de Dim on se met dans le premier SAS, celui des confirmés. Manon hésite mais je lui dis que ça va le faire, au pire on se met à l’arrière (on saura après qu’on a bien fait car ceux qui étaient dans le dernier SAS se sont retrouvés bloqués devant une nuée de nageurs en brasse et barrant totalement le passage).

On y est, la musique bat son plein, on danse, on tape dans les mains, il y a une ambiance de folie ! Ça permet de déstresser un peu avant le départ. Nos supporters sont là avec des chouettes casquettes Hoka One One et des trompettes pour mettre le feu, c’est grisant ! Départ dans 5 minutes, puis 3 puis c’est le compte à rebours 10, 9… 3, 2, 1, go !

sas depart tri deauville

On court vers la mer et on s’élance dans les vagues, on est nombreux et c’est difficile de trouver sa place mais j’arrive à poser ma nage assez rapidement. Je rentre dans les nageurs de devant, je prends quelques coups mais rien de grave, ce qui commence à vraiment me gêner ce sont les vagues. Difficile de voir où on va, ça bouge, je suis obligée de faire un mouvement de brasse pour voir où aller et respirer un peu quand le mec à côté de moi me dit « on est bien là, non ? ». J’ai adoré, c’était tellement décalé avec ce qu’on était en train de vivre ! Ça m’a donné du courage pour continuer malgré les remous. J’entends Manon qui me demande si ça va, c’est cool, on nage l’une à côté de l’autre. Premier passage de bouée sans heurt, ligne droite jusqu’à la deuxième bouée, ça me paraît long, quand on arrive à la plage j’espère secrètement que la parcours a changé et qu’au lieu de deux boucles on en fait qu’une de 1500m mais non, il nous reste encore une boucle ! On sort ensemble avec Manon et on court sur la plage, on entend les supporters :) On replonge et c’est reparti pour une deuxième boucle. On sait ce qui nous attend, c’est plus facile et j’essaie d’accélérer mais sans grand succès. Je suis secouée et je commence à avoir le mal de mer, vivement que ça se termine ! Enfin je vois la plage et les spectateurs qui se profilent, encore quelques coups de bras et je pose les pieds au sol, Manon est là, on part en courant vers le parc à vélo à travers une haie d’honneur et les encouragements du public, c’est génial ! Des petites douchettes installées sur le parcours permettent d’enlever le sel et j’en profite pour enlever le sable sur mes pieds, oui tant pis pour le chrono, je pense aux 40 km de vélo qui m’attendent et sans sable sur les pieds ça se passera mieux 😉

Je fais une bonne transition et on part ensemble avec Manon, au bout de quelques mètres je me rends compte que mon compteur ne marche pas, zut ! Je m’arrête deux secondes pour replacer le capteur et je rejoins Manon, c’est pas sérieux tout ça…. Pas grave on est là pour le plaisir avant tout alors on y va ! Je sais que la côte Saint Laurent n’est pas loin, ce serait bête de la faire attendre 😉 En effet, 2 km après le départ on aborde cette fameuse côte, au premier abord elle ne me paraît pas si terrible, je me mets vite en danseuse et c’est parti !

cote saint laurentCe que je ne savais pas c’est qu’après le virage j’allais découvrir un vrai mur ! J’étais déjà oxie par la première partie de la côte et il fallait encore grimper une pente à 15% ! Allez on y va, à mi pente j’entends mes supporters, ça fait tellement de bien, ils se sont positionnés au bon endroit :) J’arrive à leur hauteur et ça me donne de l’élan, je continue mais c’est dur, trop dur… je n’ai plus de souffle et j’ai l’impression que mon cœur va s’arrêter de battre, tant pis je pose pied à terre. Je mets au moins 10 secondes à reprendre mon souffle avant de pouvoir repartir. J’en vois plusieurs qui  tombent, qui posent pied à terre… du jamais vu sur une course !

cote saint laurent deauvilleBref, je monte le reste à pied, argh c’est rageant quand même ! Mais une fois en haut j’enfourche mon destrier et n’y pense plus. Je regarde plusieurs fois derrière si Manon est là mais je ne la vois plus, je décide de continuer. Je me dis que le plus dur est fait, à moi un beau parcours vélo bien vallonné dans la campagne, avec des vues sur les champs, des passages dans des villages… j’adore ! Dès qu’une ligne droite se profile je me mets en place sur les prolongateurs, je ne suis pas hyper à l’aise mais je sens que je peux aller plus vite, ça me plait. Par contre dès que j’aperçois une irrégularité sur la route ou que ça tourne, je me remets sur les cocottes, prudence, prudence ! Ce qui est moins bien avec les prolongateurs c’est qu’en me mettant en danseuse mes genoux touchent les accoudoirs et je vois déjà les bleus se former :(

Le parcours se poursuit et on arrive à une bosse qui me paraît facile après la côte Saint Laurent, Cédric me dépasse et m’encourage, top :) Le parcours défile et viendra ensuite une troisième et dernière grosse bosse où je dépasse une fille, trop fière ! On joue à se dépasser pendant quelques temps et puis sur une longue ligne droite j’accélère et je ne la verrai plus, quand même 😉 L’honneur est sauf !

Vers la fin du parcours on arrive sur les hauteurs et on voit Deauville en bas, c’est top ! D’autant plus que le soleil commence à pointer le bout de sont nez et c’est bien agréable. Après la descente finale on arrive dans Deauville, j’arrive au parc à vélo et les supporters sont là, yes ! J’aperçois mes parents et frères et sœurs qui sont arrivés, quel plaisir ! Ils me suivent jusqu’à la transition et je commence la course à pied.

depart course a pied deauvilleJe pars à un bon rythme mais je suis vite essoufflée, attention à ne pas me cramer ! Très vite je sens que mes lacets ne sont pas assez serrés, surtout au pied gauche. Lorsqu’on arrive sur les planches je m’arrête pour resserrer et l’élastique et là, misère, il pète ! J’arrête les frais et le laisse en l’état mais quel inconfort ! Pas grave, je continue ma course avec un petit passage dans l’herbe et à nouveau mes amis supporters du club qui sont là, au taqueeet ! J’entame l’aller retour sur les planches avec vue sur la mer et le soleil qui brille, c’est chouette ! Je croise Mario qui m’encourage et qui a l’air facile ! S’ensuit un passage sur le port et là ça commence déjà à être difficile, j’entends « allez Chacha » et je vois Audrey de l’autre côté, ça me fait du bien.

course a pied deauvilleUne fois sortie du port je commence vraiment à être dans le dur, j’ai plus de jus, quand je vois le panneau 4 km j’ai l’impression que  je vais défaillir ! Le reste se fera au mental. Je m’arrête à tous les ravitos pour boire et je me force à manger puis je repars en me disant que je vais bientôt croiser mes supporters, que c’est bientôt la fin. Je suis à nouveau sur les planches, ma famille est là, trompettes et cris, foule en délire, ça me redonne de l’énergie :)

J’ai de plus en plus mal au pied gauche, mes baskets neuves frottent sur le dessus de pied, ça n’arrange pas les choses. Je me motive toute seule, je connais le parcours et maintenant je sais ce qu’il me reste à faire, j’attends avec impatience cette dernière ligne droite sur le bitume au bout de laquelle je vais tourner et arriver sur la moquette rouge, direction l’arche d’arrivée. Je la vois enfin et en peu de temps j’y suis, je foule fièrement cette moquette rouge et je passe la ligne d’arrivée en 3h20, c’est pas si terrible même si je suis très déçue de ma course à pied, là où je pensais pouvoir exprimer mon talent après les entraînements de cet hiver.

arrivee deauvilleOn nous offre une belle médaille et je retrouve ma famille et mes amis pour commenter la course, quel bonheur de les retrouver. J’apprends que Dim est arrivé 27e, wow, quel « crack » comme diraient les espagnols 😉 Mario arrive peu de temps après lui, encore bravo à eux.

Une fois que j’ai récupéré mes affaires on part déjeuner au soleil sur le port avec ma famille, après l’effort le réconfort. On prend le soleil, on papote et on n’a même pas le temps de prendre le dessert, il est l’heure pour les garçons d’aller se préparer pour leur course. Je les accompagne jusqu’au parc à vélo et s’ensuit un grand moment de bonheur à les voir évoluer sur leur premier triathlon. On les encourage à chaque étape, ils sont à fond ! Les voir avec un grand sourire à l’arrivée est ma plus belle récompense :) Ils ont beaucoup aimé cette expérience et je suis très fière d’eux !

arrivee tri deauville decouverteEn résumé, je garde un excellent souvenir de cette journée, c’était une belle course et l’organisation au top, j’ai eu des supporters et photographes de choc que je remercie encore ! Beaucoup d’émotion et de partage, vivement le prochain !

Les 6 atouts nécessaires pour réussir sa préparation de triathlon

Connaissez-vous vous-même

Il est indispensable pour tout bon sportif de connaitre ses limites afin de mieux les repousser. La fréquence cardiaque idéale, les apports nutritionnels nécessaires et le temps de récupération entre chaque entrainement sont autant de paramètres à maitriser pour pouvoir progresser efficacement et sainement. Le triathlète cherche à s’améliorer dans 3 disciplines différentes ce qui rend la tâche encore plus ardue. Néanmoins il faut persévérer et accorder votre attention aux signaux que vous envoie votre corps. Cette maitrise de l’information vous permettra par la suite d’être réactif et efficient dans l’effort.

Trouvez-vous des alliés

Durant votre préparation il y aura des hauts et des bas. Il sera parfois difficile de trouver la motivation pour aller s’entrainer. Dans ces moments là il faut que vous puissiez compter sur des personnes de confiance, famille ou ami. Ils sauront trouver les mots pour vous aider à puiser en vous la force de retourner au combat. Un combat que vous mènerez  parfois contre vous-même mais si vous suivez ce conseil vous ne serez jamais seul.

N’abandonnez jamais

La vie d’un triathlète en préparation peut parfois être rude. Personne n’est à l’abri d’une blessure, d’un problème de matériel ou de conditions d’entrainements difficiles. Malgré tout il ne faut pas rester bloquer sur ces tracas. Ils ne sont en fait, que des occasions supplémentaires d’engranger de l’expérience. Avec du temps et de la patience vous saurez transformer ces mauvaises fortunes en forces. Forces qui pourront faire la différence lors des moments décisifs de votre saison.

Il faut savoir dire non

Figurer au mieux sur les parcours les plus exigeants demande un volume d’entrainement important ainsi qu’une bonne hygiène de vie. Cela sera parfois en contradiction avec votre vie sociale. Vos amis vous invitent à sortir, le problème c’est que demain vous avez une grosse séance de prévue et vous ne pouvez pas vous permettre d’avoir les jambes lourdes. Il vous faudra alors savoir dire non. Vous aurez toujours la possibilité de les retrouver une prochaine fois pour un moment plus compatible avec votre programme sportif.

Le maitre du temps tu seras

Vous l’aurez compris, un programme pour le moins chargé attend les triathlètes les plus motivés. Ajoutez à cela votre temps de travail et votre vie de famille cela risque de devenir compliqué pour les moins organisés d’entre vous. Un bon triathlète doit savoir gérer son agenda afin de réussir à y caser tous ses entrainements. La clé est d’être capable de profiter de quelques heures qui se libèrent çà et là afin de s’entrainer le plus régulièrement possible. Tout en n’abusant pas et en restant à l’écoute de son corps, on n’oublie pas le conseil n°1.

Faites-vous plaisir

Il ne faut surtout pas perdre de vue que vous êtes là avant tout pour vous amuser. Si vous êtes arrivés jusqu’à ce dernier paragraphe, le triathlon est sûrement votre passion. Alors ne boudez pas votre plaisir et apprenez à apprécier chaque moment même lorsque ceux-ci paraissent difficiles. C’est en gardant cet optimisme et cette façon de penser positive que vous réussirez à vous surpasser.

Conseil Natation

Voici quelques nouveaux conseils de notre blogueuse Charlotte (www.charlottefunandgo.com) pour réussir votre épreuve course à pied sur le Triathlon de Deauville.

Matériel : pour la natation vous aurez besoin d’un maillot de bain ou une trifonction (tenue spécialement adaptée pour le triathlon avec laquelle vous pouvez nager, rouler et courir), un bonnet de bain, des lunettes et une combinaison néoprène si l’eau est inférieure à 16°. Astuce : mettez un peu de vaseline ou graisse à traire autour du cou, aux poignets et chevilles pour éviter les irritations dues à l’eau de mer, cela vous permettra aussi d’enlever la combi plus facilement J

la natation en piscine est bien différente de la natation en milieu naturel, si vous le pouvez, entraînez-vous à nager en eau libre avant la course, cela vous évitera l’effet de surprise le jour J

si vous n’êtes pas un nageur très expérimenté, restez derrière au départ, cela évitera de se retrouver au milieu avec l’agitation et l’effet « machine à laver »

Conseils Running

Voiici quelques nouveaux conseils de notre blogueuse Charlotte (www.charlottefunandgo.com) pour réussir votre épreuve course à pied sur le Triathlon de Deauville.

matériel : pour la course à pied vous aurez besoin de vos baskets, une casquette s’il fait chaud et la ceinture porte-dossard ou les 3 épingles. Astuce : misez sur l’option lacets élastiques, vous gagnerez du temps lors de la transition ! Vous pouvez aussi mettre du talc dans vos baskets pour éviter les ampoules.

Entraînez-vous à courir 10 à 15 minutes après vos sorties vélo pour éviter la sensation de jambes lourdes le jour de la course.

illustrations-conseils-cap

CONSEILS VELO

Voici quelques conseils de notre blogueuse Charlotte (www.charlottefunandgo.com) pour réussir votre épreuve vélo sur le Triathlon de Deauville.

Pour le matériel : vous aurez bien sûr besoin d’un vélo de route, d’un casque homologué NF, de chaussures vélo ou baskets (si vous n’avez pas de pédales automatiques), une ceinture porte-dossard ou 3 épingles, des lunettes pour protéger vos yeux d’éventuelles projections.

illustrations-conseils-velo

Astuce 1 : mettez du talc dans vos chaussures vélo pour éviter les ampoules si vous ne prévoyez pas de chaussettes.

Astuce 2 : repérez bien l’emplacement de votre vélo dans le parc, vous gagnerez du temps lors de la transition !

Astuce 3 : il est conseillé de mouliner au début du parcours vélo pour réhabituer votre corps à la position verticale avant d’accélérer petit à petit