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« Mon ami, mon frère, le parrain de mes gosses, mon mec… si j’étais homo »

C’est l’histoire d’une amitié, Arnaud et Jérôme, qui se sont rencontrés pendant leurs études sur Bordeaux, et très vite, ils se sont considérés comme frères de cœur. Ils ont vécu ensemble, rencontré leurs femmes en même temps, et ont même eu leurs enfants la même année. Une relation unique entre ces deux hommes que Jérôme aime illustrer par une phrase d’Honoré de Balzac : « Ce qui rend les amitiés indissolubles et double leur charme est un sentiment qui manque à l’amour : la certitude ».

Un jour, Jérôme part vivre au Brésil. Mais la relation intense reste présente malgré les 12 000 km qui les séparent.

Arnaud allait prendre 40 ans en juin, une occasion en or pour Jérôme de revoir son pote, lui qui n’est pas rentré au pays depuis longtemps. Il organisa une surprise et mis l’ensemble de la famille d’Arnaud dans la confidence. Leurs retrouvailles ne pouvaient pas se faire sans cette passion commune, le triathlon. En effet, 10 ans auparavant c’est Arnaud qui avait transmis la passion du Triathlon à Jérôme, alors traverser l’Atlantique pour partager une course et fêter ses 40 ans sonnait comme une évidence.

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« Pour quelqu’un qui vit sous les tropiques, nager dans de l’eau à 16ºC, c´est… exotique »

Bien au-delà de la surprise, l’expérience du Triathlon International de Deauville fut « un sacré souvenir » pour nos deux triathlètes. « Le vent et les 16ºC de l´eau au départ sont la grosse difficulté, je n´ai senti mes doigts de pied qu’au 4ème km du running, ensuite le soleil est sorti et j´ai un grand sourire, notamment sur les Planches ».

C’est au final peu avant la course que Jérôme fait la surprise à Arnaud. C’est alors un grand moment que les deux hommes vivent. Une joie immense les envahisse et c’est ensemble qu’ils ont pu se présenter sur la ligne de départ de la Distance Olympique.

Arnaud acheva sa course en 03:12:40 juste derrière Jérôme qui a mis 02:56:13. 

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Le challenge des deux hommes est relevé. Ils ont réussi à boucler le circuit malgré les obstacles naturels qui font tout le charme de ce triathlon Normand : « Voilà, je peux dire que je l´ai fait ! »

Comme dans toute expérience, il y a des enseignements à retenir. Pour notre triathlète Brésilien, ce sera l’organisation de son voyage. « Passer 20h en avion plus le trajet en voiture la veille de la course n´est pas du tout une bonne idée. Quant à arriver 1 semaine plus tôt, je pense que je n’aurai pas résisté aux joies de la gastronomie normande ». Un sacré dilemme, un juste milieu pas évident à trouver.

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Aucun regret pour Jérôme, ce qu’il a vécu n’est pas comparable, et ça restera pour lui comme pour son frère une expérience inoubliable.

« ça parait pas si délirant de faire au moins une fois dans sa vie un truc de dingue comme ça, entre potes »

Mais qui sera le prochain ?

Un grand merci à nos deux triathlètes Arnaud DENOUAL et Jérôme PAYS pour avoir partagé avec nous cette histoire originale.

Photo : Running Photo

Les jeunes aussi ont leur TriDeauville !

Votre enfant sait nager ? Il/elle sait pédaler ? Il/elle sait courir ? Et bien voilà, le triathlon est fait pour eux : trois sports en un. Ils vont pouvoir apprendre à courir, nager, pédaler et à se faire plaisir sur une compétition. Les valeurs véhiculées par le triathlon sont diverses et en tant que professeur des écoles, je prône la diversité des sports. Ainsi, nos chers petits pourront se targuer d’avoir essayer le plus de sports possibles.

Il suffit de trouver le sport qui convient à votre enfant. Et le triathlon pourrait bien l’être.

Certains de vos enfants vont apprécier les formats plus adaptés aux petits. Ils pourront partager avec vous les mêmes émotions et les mêmes plaisirs que vous. Ils peuvent commencer dès à présent sur le TriDeauville grâce aux 5 courses jeunes proposées :

MINIKIDS – mini-poussin
50 m natation en piscine / 2 km vélo / 200 m course à pied
Réservé aux catégories mini-poussin(e)s (2010-11)
MINIKIDS – poussin
50 m natation en piscine / 2 km vélo / 200 m course à pied
Réservé aux catégories poussin(e)s (2008-09)
MINIKIDS 2 – pupille
100 m natation en piscine / 2 km vélo / 400 m course à pied
Réservé à la catégorie pupille (2006-07)
TRIKIDS – benjamin
200 m natation en piscine / 4 km de vélo / 1,6 km course à pied
Réservé aux catégories benjamin(e)s (2004-05) et minimes (2002-2003)
TRIKIDS – minime
200 m natation en piscine / 4 km de vélo / 1,6 km course à pied
Réservé aux catégories benjamin(e)s (2004-05) et minimes (2002-2003)

N’attendez plus, très peu de place encore disponible : INSCRIPTION

Néanmoins, laissez votre exigence de côté et misez plutôt sur le plaisir.

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Les bienfaits du triathlon sur nos enfants !

On prône l’activité physique pour les enfants et le triathlon peut convenir car c’est un sport complet. Le triathlon mettra en valeur des compétences spécifiques telles que connaître son environnement et les contraintes liées au déplacement, se confronter aux autres et vaincre la peur de se lancer, produire un effort maximal. Sans compter ce qui me paraît tout aussi important : faire attention à son matériel, rouler en groupe en gérant son effort, en respectant les règles de sécurité pour le vélo, coordonner sa respiration et la propulsion pour nager vite et longtemps.

– Renforcer les muscles et les os
– Améliorer le système cardiovasculaire
– Améliorer l’endurance et l’équilibre
– Acquérir la souplesse et la coordination

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Quelles valeurs transmet le triathlon ? 

Les enfants vont apprendre la persévérance, le fair-play, le respect de soi et des autres (adversaires, arbitres, public et environnement), la confiance en soi, le dépassement de soi et l’humilité.

S’ils/elles réussissent une compétition, ils sauront partager cette réussite avec leurs pairs.

Où pratiquer le triathlon ? 

Certains clubs de triathlon adultes prennent en charge les enfants retrouvez les clubs sur l’un de nos articles précédents ici). Faites confiance au coach ! Il/elle connaît son programme, proposera un plan de progression sur l’année et sera présent(e) pour encourager de façon positive votre enfant qui se forgera un super mental.

Les séances sont diverses et les enfants apprendront à effectuer des transitions, à travailler leur endurance, la gestion de l’effort et surtout, ils pourront coopérer entre eux et garder une dynamique de groupe en encourageant les autres participants.

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De plus, l’effet club leur permettra de partager la même passion entre enfants et de créer des liens entre eux. C’est très convivial et plus sympa.

Le triathlon pour les kids est une vraie source de plaisir.

Pour d’autres aventures, retrouvez-moi vite sur mon blog NadiaRunsParis

Nadia JAS

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Photos : Audrey Dolcher

Location de combinaison

On vient de programmer la température de l’eau à 16°c pour la prochaine édition, alors pensez à vous équiper ! Vous n’avez pas de combinaison pour affronter la Manche lors du TriDeauville 2017 ? Pas de soucis, comme chaque année, on vous apporte la solution.

Notre partenaire Dare To Tri, vous propose de louer une combinaison pour votre épreuve au tarif de 41€. Nous vous précisons que ce service n’est qu’une mise en relation et que nous ne prenons aucun frais.

1/ Vous êtes déjà inscrit

Vous devez retourner sur la plateforme d’inscription à l’aide du mail de confirmation que vous avez reçu lors de votre inscription. Cliquez sur le lien et rentrez vos identifiants, vous pourrez louer votre combinaison.

Si vous avez besoin de plus de détails, TID2017 – Guide Location Combinaison.

2/ Vous n’êtes pas encore inscrit

Vous pouvez choisir cette option dans votre inscription.

Une fois votre combinaison louée vous recevrez un mail de confirmation et vous n’aurez plus qu’à récupérer votre combinaison le jour de l’épreuve.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le loueur : france@dare2tri.eu

Rejoins un Club !

Tu es sûrement déjà inscrit, si tu y réflechis, cet article est aussi pour toi. Tu viens de te rendre compte que tu t’es mis dans une galère et que le triathlon en fait, ça ne s’improvise pas. La dernière fois que tu as nagé c’était pour ton brevet de 1 000m; le vélo, c’est pratique pendant les vacances; la course à pied, pourquoi pas après les fêtes pour perdre du poids. Bref, tu t’inquiètes un peu. Heureusement, le triathlon de Deauville te propose de rejoindre un club pour augmenter tes chances de réussite.

1/ Tu habites la région Parisienne

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Aucun souci, l’Île de France compte de très nombreux clubs très bien structurés : Stade Français, Boulogne-Billancourt, Poissy, etc… la liste complète ici

A quoi cela sert de rejoindre un club en région Parisienne ? Tout d’abord, les clubs vont te permettre d’avoir accès à des séances encadrées, à des coachs mettant en place des plans d’entrainement selon les objectifs.

Un plus indéniable, les clubs possèdent des créneaux pour les piscines ou dans les stades d’athlétisme comme nous le précise Julien Hamon président du club parisien Levallois Triathlon « Nous nous entraînons principalement en piscine à raison de 4 fois par semaine et sur piste 1 fois par semaine » Cela permet de s’entrainer dans des conditions idéales et à des horaires fixes ce qui peut vous faciliter votre organisation, surtout en région Parisienne.

De plus, de nombreux clubs mettent en place des stages de découverte ou de perfectionnement pour changer de rythme d’entrainement et d’environnement. « On peut se retrouver par exemple 2 fois par an un stage en piscine pour travailler le volume et se mettre en condition de course ainsi qu’un stage au printemps en bord de mer pour goûter les sensations de la nage en mer. » nous précise Julien Hamon. Voici déjà une bonne raison de s’engager : ne plus paniquer devant la Manche.

2/ Tu habites en Normandie

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Très bon choix, on te félicite ! La région a également de nombreux clubs comme le Caen Triathlon, les lions de Vernon, Cherbourg Triathlon, etc… voici la liste complète ici 

L’un des principaux club de la région est celui de Deauville-Trouville, qui en marge du TriDeauville développe son aura et ses licenciés « nous accueillons tout le monde même si nous privilégions les licenciés habitant dans un rayon de 20km de Deauville » précise Laurence Osmont. Outre la proximité du club vis à vis des parcours du Trideauville (évidemment), le club dispose d’infrastructures de qualité avec un stade et 2 piscines : à Deauville et Trouville.

Des regroupements sont organisés le week-end pour repérer le parcours du Trideauville notamment sur la partie vélo. Et dès le mois de mai, des sorties en mer sont encadrées pour goûter aux joies de la nage en eau libre.

Le club mise beaucoup sur l’école de triathlon qui a ouvert il y a maintenant deux ans. Le staff de club s’est élargi avec un MNS pour la natation et des BF5 qui préparent les séances. Elle accueille des enfants de 10-11 ans en moyenne et les forment à l’enchaînement des 3 disciplines de 2 à 4 fois par semaine.

3/ Tu habites partout ailleurs

Bien évidemment, il y a des clubs partout en France. Mais si tu te trouves loin d’un club, tu peux toujours t’inscrire auprès de la Wild Team Triathlon.

La Wild Team Triathlon c’est la solution à distance, « s’entraîner en s’amusant, créer une émulsion de groupe positive et s’adapter aux triathlètes de tout niveau ». Ils forment une communauté de triathlètes sympathiques et motivés et propose un système d’échange, de conseil, de coaching personnalisé avec des entraînements on et offline.

Dans tous les cas de figure, sachez que la pratique en club vous « permettra de mieux évaluer vos possibilités et donc de choisir une distance appropriée » comme le note Laurence Osmont qui rajoute  « il est important de pouvoir s’initier à la pratique notamment pour connaitre les règles, l’arbitrage en compétition afin de ne pas être déstabiliser pendant son effort »

Et puis faire partie d’un club, c’est un encadrement, des entrainements spécifiques mais c’est avant tout un état d’esprit. « C‘est s’apporter mutuellement, s’entraider à l’entrainement comme dans la vie. Le triathlon est un sport individuel que nous pratiquons en club, donc en groupe. Nous sommes donc toujours présents les uns pour les autres et nos encouragements sont aussi soutenus pour les 1ers que les derniers. Notre cohésion est notre force » comme le conclut Julien Hamon.

Pour retrouvez les clubs interrogés :
Club du Levallois Triathlon
Club du Deauville-Trouville Triathlon
Wild Team Triathlon

PS : si tu réfléchis encore, souviens-toi qu’avec ta licence, tu pourras dire au revoir aux licences journées. Il suffit de faire quelques triathlons à l’année pour rentabiliser ta licence 😉

Photos : Christophe Guiard, Sandrine Boyer-Engel

Quentin Kurc-Boucau : le premier des amateurs

Il a surpris tout son monde cette année en bombardant l’épreuve vélo et en finissant le half en 5ème position et premier amateur de l’édition 2016. C’est avec plaisir que l’on a interviewé Quentin Kurc-Boucau pour discuter de Deauville et de sa saison.

Avec cette superbe perf’ en 2016, tu comptes revenir en 2017 pour tenter le podium ?

Oui je compte revenir l’année prochaine, Deauville est une de mes courses préférées, elle fera partie de mes objectifs. Par contre pour le podium, ça va être dur. Chaque année le niveau se densifie et il y a des gars très forts devant mais on va essayer.

Tu le sentais comment en t’inscrivant au Trideauville ? tu pensais te classer aussi bien ?

C’était un de mes objectifs de la saison, j’affectionne cette course et d’un point de vue pratique, c’est à côté de Paris. Et puis, le cadre est magnifique, ma femme adore la région, c’est donc un week-end génial . J’avais fait une bonne préparation à la course donc je m’attendais à faire un bon temps.

Tu n’as pas trop regretté ton inscription quand tu t’es retrouvé face à la mer froide (à peine 16°) mouvementée ?

J’ai l’habitude de cette course et je savais à quoi m’attendre. Franchement, je n’ai fait aucun effort dans l’eau, je sais que de toute manière ça va être chaotique. Je ne suis pas bon en natation, je n’y arrive vraiment pas.

Cette fois-ci, c’était très compliqué, je suis sorti en retard au moins 5′ par rapport à des gars que je connais et avec qui je sors d’habitude.

Tu as dû revivre quand tu as retrouvé ton vélo ? Tu es d’ailleurs passé  comme une fusée dans la côte Saint-Laurent tu as manger pas mal de tes concurrents en finissant 3ème de la partie vélo ?

J’ai conscience de mon niveau en vélo, je savais en partant du parc que je poserai pas trop mal. Je suis parti en ayant en tête que j’allais revenir rapidement sur Victor puis que j’allais voir Anthony. La partie vélo est exigeante, il faut bien gérer son effort, si possible avoir de bonnes consignes de course. La côte Saint-Laurent… elle est vraiment hard cette bosse, je n’ai pas un très bon rapport poids/puissance ce qui me dessert un peu sur ce genre de côte. En gros, j’en ai chié !

Mais avec tout le monde présent autour ça motive. Je suis quelqu’un qui fonctionne à l’affect, j’ai besoin du public pour avancer. En plus, le triathlon est un petit milieu, cela fait 5 ans que j’en fait et les gens commencent à me connaitre du coup, ils m’encouragent à mon passage. Ca me donne de l’énergie et je me nourris de ça pour avancer.

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Comme il n’y en a pas beaucoup qui peuvent en parler, tu peux nous dire ce que ça fait d’être au coude à coude avec les plus grands ?

C’est kiffant, le triathlon est des rares sports où les amateurs courent avec les pros. J’avoue que quand j’ai posé le vélo en 3ème position, j’étais trop content.
C’est vérifiable avec tous les pros et encore une fois à Deauville, ces gars là sont géniaux, hyper-accessibles, humbles.

Pour réduire l’écart entre eux et toi qu’est ce qui t’a manqué ?

La course à pied. Je me suis cassé le pied un mois et demi avant la course, j’ai du faire 4 séances de running avant la course. J’ai dû me résoudre à faire toute la course à 15km/h, je n’avais pas de volume et quand j’ai essayé d’accélérer, j’ai senti des micro-crampes arriver.
Du coup, je suis rester sur mon allure en sachant que c’était mon meilleur niveau possible dans ces conditions. Si je n’avais pas eu ma blessure, je pense que j’aurais pu m’approcher de la 4ème place.

Et côté ambiance, comment juges-tu le public Deauvillais ?

Génial ! sur la partie vélo, tu as une grosse ambiance dans la côte Saint Laurent et même après sur le parcours, on croise toujours du monde. Le must, c’est quand même la course à pied pour finir. Le faite d’avoir plusieurs courses dans le week-end, ça attire un maximum de monde.
Par expérience, je ne connais des ambiances comme ça que en Allemagne.

Tu as participé à Kona en 2013 et 2015 ou tu te classes 10 dans la categorie 25/29 et 69eme au général, ça reste ton meilleur souvenir de triathlon ?

Kona ne me fait pas rêve. En 2015, c’était l’objectif de ma saison, gagner ma catégorie d’âge mais je n’ai pas réussi à restituer les efforts que j’avais fait à l’entrainement lors de la course. Mon meilleur souvenir reste mon premier IM à Whistler au Canada. C’était ma première qualification à Hawai, mes proches était là, c’était fort en émotion.
Je garde en mémoire cette course car c’était aussi ma première année de triathlon et je dois dire que les sacrifices ont était grands, j’ai vécu comme un moine shaolin pendant des mois, plus de pote, pus de sortie, plus de barbecue…

et le pire souvenir ?

IM Mallorca j’ai tout loupé de A à Z alors que j’étais surement à mon meilleur niveau, rien ne s’est passé comme prévu. Mais ce sont des choses qui arrivent, il y aura d’autres courses, j’ai débuté le triathlon depuis 5 ans il me reste du temps.

Quels sont tes prochains objectifs avec la Team Triathlon Store ?

Pour l’année prochaine, je vais m’inscrire à Deauville et à Beauvais en objectif et finir sur l’IM d’Arizona pour marquer l’histoire de mes cuisses !

Retrouvez l’actualité de Quentin : Blog / Instagram
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Planche(s) Contact X TriDeauville

Tous les ans, le Triathlon de Deauville accueille un photographe invité par le festival Planche(s) Contact pour suivre l’événement. Cette année, nous avons eu l’honneur de recevoir la visite de Bernard Descamps pendant les deux jours de compétition.

Maître de la photographie noir et blanc, Bernard Descamps aime les courbes des plages et des déserts, les ciels d’oiseaux et les lumières balnéaires. Depuis les années 80, avec un sens unique du cadrage et de la composition, Bernard Descamps utilise le format carré qui épure et recompose les paysages d’Afrique, les rues de Tokyo ou les plages du Nord en hiver.

A Deauville il reprend sa posture préférée, celle du photographe voyageur qui marche longuement et arpente la plage et la ville, ses espaces vides ou investis, la semaine et le week-end. C’est ainsi qu’il la révèle, en nuances et dans toutes ses lumières.

source : www.deauville.fr

Si vous êtes un habitué de la gare Saint-Lazare à Paris, vous avez pu notamment apercevoir un cliché noir et blanc de l’édition 2016.

L’exposition le travail de Bernard Descamps à Deauville intitulé : Deauville Travelling Plage est exposé au Point de Vue – Boulevard de la mer jusqu’au 27 novembre 2016 (10h30/13h – 14h30/19h). Accès libre.

Planche(s) Contact : Site
Bernard Descamps : Site
Photo : SNCF / DavidPaquin